Conversation pas tellement privé [PV Bella et Edward]

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Dormir est une chose bien agréable, s’enfuir dans des rêves magnifique ou se remémorer des anciens souvenirs qui font du bien de temps à autre. Bien sûr, toute chose plaisante est éphémère, mon réveil me sortit de mes rêveries.
Je m’étira doucement, me leva, tira mes rideaux et me rendit dans ma salle de bain pour prendre une douche bien chaude, rien de tel pour se réveiller. Une quinzaine de minutes après, j’éteignis l’eau et me sécha avec ma serviette de bain de couleur noisette. Je m’habillai d’un pantalon en pattes d’éléphant très à la mode en France en ce moment ; un tee shirt immaculée d’une blancheur étincelante, ce qui faisait ressortir la couleur de sa peau ; un pull léger de couleur noir rayer en bandelettes épaisses blanches. J’attachai mes longs cheveux noirs de jais en un chignon parfait avec quand même une mèche qui retomba sur le côté droit. Je mis des boucles en argent à mes oreilles. Je me maquillai d’un trait assez foncé au dessus et en dessous de mes yeux. Et avant de sortir, je mis autour de mon cou un pendentif en vrai argent, si l’on appuie sur un petit bouton, il s’ouvre et montre une mini horloge, devant il y a un petit creux où l’on peut loger une photo, bien entendu j’avais mis celle de Jacob et une autre de mon cher grand père décédé.
Après avoir tout fini, je descendis prendre mon petit-déjeuner, cette fois ci Marie ne me l’avait pas préparé, cette dernière avait dut prendre en compte ma remarque du week end dernier.
Je me prépara donc un bol de lait avec des céréales aux chocolat, quand je me rendis dans la salle à manger, une surprise m’y attendait : ma mère ! Normalement elle devait être à Los Angeles pour son défilé de se soir ! Pourquoi était-elle là alors ? Je ne put avoir le temps de lui demander qu’elle me dévisageât et m’invita à m’asseoir près d’elle, je m’exécutai sans me le faire répéter une deuxième fois de sa part.

- Bonjour Evangeline, comment te portes-tu ? Me questionnât-elle

- Bonjour mère, lui répondis-je après avoir fini ma bouchée de céréales, je vais très bien et vous ?

- Ne m’en parle pas ! Mon défilé est retardé ! Tu te rends compte ! Ils l’ont déplacé à demain soir ! Ce qui est bien en somme, mais je risque de m’ennuyer dans cette ville pourrit ! New York ne manque ! Se lamenta ma maternel en regardant la fenêtre entrouverte avec un air de chien battu.

- Oh ! Qu’elle dommage ! Essayais-je de compatir en lui disant des choses complètement fausses, c’est peut être parce qu’ils veulent vous mettre plus en valeur en choisissant des invités digne de vous mère.

- Oui, tu as raison ma chérie !

En tournant son regard sur moi pour me complimenter de ce que je venais de dire, cette dernière fit une grimace de dégoût en voyant comment j’était habillé.

- Mais que portes-tu là ? Des vêtements du peuple ! Franchement, je ne te comprendrais jamais Evangeline !

J’attendis d’avoir fini mon petit déjeuner, alla poser mon bol dans le lave-vaisselle, nettoya la partie de la table que j’avais utilisé sous les yeux rond pleins d’étonnement de ma mère. Puis, avant de sortir de cette pièce, je me retourna et rétorqua au mannequin qui m’avait donné la vie :

- Ne vous inquiétez pas, cela est tout à fait réciproque.

Je remontai dans ma salle de bain pour me brosser les dents, et quand cela fut fini, j’entrai dans ma chambre pour prendre mon sac déjà près, mon MP4 et mon bracelet porte-bonheur fabriqué par mon Quileute préféré quand nous étions jeunes.
Quand je vis l’heure qu’il était, je descendis les escaliers calmement, mit mon blouson en cuir noir, enfila mes bottines à talons assez courts et me dirigea vers le garage, monta dans ma voiture, mit le contact et me dirigea vers le lycée le sourire aux lèvres.
Après mette garé sur le parking, je descendis, et je fut en quelques minutes entourée de personnes avec qui je m’entend très bien, avec qui je rigole tout le temps.
Un instant plus tard, je me dirigeai vers mon premier cours. Pendant ce dernier je me décidai d’aborder Bella Swan pour lui proposer quelque chose. Pour moi cette fille est bien différente des autres, ce qui à le don de me fasciner. Dix minutes… Trois minutes… Trente secondes, la sonnerie se fit entendre, les élèves se levèrent et sortirent de la salle en vus de leur prochain cours. Dans la foule, je réussi à trouver Bella, je l’interpella avec toujours un sourire sur mes lèvres. Cette dernière se retourna, je me dirigea vers elle et la salua d’une manière des plus convenable possible :

- Bonjour Bella, excuse moi de t’avoir dérangé.
Je me nomme Evangeline Spacey, enchantée.
Je sais que cela va te paraître un peu bizarre venant d’une personne inconnue, mais accepterais-tu de prendre le repas du midi avec moi à la table qui est toujours vide ? J’aimerai faire ta connaissance et te connaître.

Pendant un instant je crus qu’elle allait refuser, et je la comprenais, moi aussi j’aurai hésitée à répondre à une telle proposition. Cette dernière se tourna vers son amie (enfin je suppose) Jessica, une super fille, très sympa que je salua quand celle-ci me regarda. Elles parlèrent un instant, et mon interlocuteur accepta mon invitation. Je la remerciai avec un grand sourire avant de me diriger vers mon prochain cours.
Le reste de la matinée se passa très vite, ne vit même pas le temps passé. L’heure du dîner arriva, sur mon plateau je prit très peu de choses, je n’avait pas tellement faim aujourd’hui. J’expliqua à mes ami(e)s que je n’allait pas manger avec eux, et ma dirigea vers la table convenue. Je me rendit compte que cette dernière était assez prêt de celle des Cullen, c’est peut être pour cela que personne n’y va… En les regardant, mon regard croisa pendant une fraction de seconde celui d’Alice. Je rougis légèrement car j’admire en secret cette jeune femme extrêmement belle, gracieuse qui semble être très gentille et sympathique. Je me mis à pensée à pleins de choses, à me remémorer la première fois que je l’avais vus et adressé la parole. Quand je revint sur Terre, je remarqua que j’avais sortie une feuille de papier blanche ave un crayon de bois et avait commencer à la dessiner ; embarrassé, je plia la feuille et la mit dans ma poche en me promettant de le terminer avant de me coucher.
Quelques secondes après, Bella s’installa devant moi avec son plateau, je lui sourit et la salua de nouveaux :

- Salut ! Je suis très heureuse que tu es put venir, je t’en remercie.

L'heure de midi avait enfin sonné, Bella avait plus au moins rendez vous avec une fille qui lui avait demandé ce matin, elle ne la connaissait pas mais elle avait tout de meme accepté, Bella ne savait pas trop pourquoi elle avait accepté au départ elle avait voulu refuser, cette demande était tellement étrange et puis apres avoir échanger un regard avec Jessica elle avait finalement accepté, elle savait tres bien que ce soir elle devrait rester des heures au téléphone avec Jessica qui voudrait tout savoir de sa conversation avec la jeune fille. Donc il était enfin l'heure, Bella n'avait pas spécialement faim elle pris une pomme et une boisson. Puis Bella regarda vers la table ou elle devait aller, Evangeline était en train de faire quelque chose, un devoir en retard pensa Bella. Elle jeta un coup d'oeil vers la table ou Edward était installé. Elle avait une furieuse envie d'aller s'assoire a sa table, ne serait-ce que pour les explications qu'il lui devait depuis l'hopital, mais Bella étant de nature timide se dirigeat vers la table a laquelle elle était attendu. Elle posa son plateau. Elle souriat timidement, le fait d'etre si proche d'Edward la troublait un peu, elle esperait que Evangeline ne verrais rien.

- De rien, je dois t'avouer que ton invitation ma intriguée

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Eviter les représailles de Rosalie s'avérait plus difficile que prévue. La si belle soeur d'Edward n'avait pas cessé depuis l'accident de Bella de lui reprocher son comportement "indécent", "irréflechi", "dangereux"... Bien des adjectifs et autres qualitificatifs (et même des insultes) ne purent les revenir au vue de la vitesse à laquelle Rose se prêtait à les libérer dans la voiture. Emmett, Jasper et Alice faisant mine de ne rien entendre. Leur avis sur la question était partagé, aucun d'entre eux ne connaissait Bella, ou n'avait recours à l'excuse de son attirance si puissante pour l'humaine.
Garer la voiture fut le signe d'une explosion de joie dans l'esprit de tous. Ceux qui subissaient sans le mériter les assauts de Rosalie s'éjectèrent de la voiture et sans un sourire filèrent dans l'établissement... Il fallu tout les mots doux et les indices de sa force pour arracher Rose du Parking, prête à continuer l'enguirlandage jusqu'à Noël. Seul à côté de sa Volvo, Edward soupira. Il fallait aller en cours à présent.

Les cours s'éternisaient, il y avait dans l'air une atmosphère dérangeante. La pesante langueur d'un cours auquel il n'avait pas besoin de penser pour continuer de feinter l'assiduité. Préférant éviter les esprits des adolescent rompus aux films d'actions et aux hormones leur laissant droit de rêver un temps, il n'écoutait rien, jusqu'à ce qu'un nom retentisse à son esprit. Un instant il cru que c'était son fait, qu'il l'avait lui même imaginé. Mais non, il fut répété, une idée, un rendez-vous se profila. Tournant la tête il cibla du regard une jeune femme à la peau brune, bien habillée, plutôt calme.

Retournant à sa feuille il comprit bien vite. Un instant plus tard dans les couloirs du lycée de Forks il distingua clairement la voix de Bella et de cette fille dont le nom lui échappait encore. Il fut servit pour toute réponse il eut droit au nom de cette dernière et même à l'accord de Bella de partager son repas. Se dirigeant vers le self du bâtiment, il remplit son plateau sans y penser, sourit un instant à Alice qui le fixait depuis dix minutes avec suspicion. À la table des Cullen, il n'octroya aucun regard à Rosalie qui l'ignorait purement et simplement. Il ne répondit pas à la question de Jasper, et resta en silence sous les yeux d'Alice.

Non loin, à une table venait de s'installer le couple qui l'intriguait. Bella et Evangéline.

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En me réveillant se matin, j’étais de très bonne humeur, comme tout les jours de l’année en fin de compte. Pendant que je me préparais en vue de ma journée de cours, je repensais à mon rêve pour le moins très agréable : Jacob et moi ensemble en train de nous promener sur First Beach. Cela faisiat pas mal de temps que nous nous étions pas vus, deux ans et quelques mois, depuis l’enterrement de mon grand père Quileute. Je m’habilla simplement car je n’aime pas mon rang social, je ferais tout pour le changer, malheureusement cela est impossible. En descendant les escaliers, j’avais toujours le sourire aux lèvres, en allant préparer mon petit déjeuner je fut très surprise quand je vis ma mère installer sur la table de la salle à manger en train de siroté un thé en regardant la fenêtre d’un air las. Je vous étonnée de sa présence car elle était censée être à Los Angeles pour un défilé très important, celle ci ne parlait que de cela depuis deux mois, comme si cela était la fin du monde si elle n’y allait pas.
Au début, la conversation ressemblait à toutes celles que j’avais eu avec ma maternel : salutation poli, demander comment se porte son interlocuteur, puis c’est au tour de Madame de se plaindre de son travail, des conditions, des horaires de décalage quand elle prenait l’avion, de sa grande fatigue, des horribles vêtements qu’elle doit porter pendant des séances photos pour des magazines connus dans le monde entier, tout comme elle en tant que mannequin très demandée par de grands stylistes. Donc en résumer, celle ci ne fait que de se plaindre d’un métier qu’elle adore pratiquer.
Quand j’eu fini mon petit déjeuner, la femme qui m’avait mise au monde remarqua comment j’était vêtue, elle devint tellement pâle, telle une personne faisant une syncope. Cette dernière ouvrit grand sa bouche et me cria dessus, car elle trouvait que je m’était habillée comme les « pauvres ». Pour finir notre discussion, elle me dit qu’elle ne me comprendrais jamais ; avant de la quitter, je lui répondis tout simplement que cela était réciproque.
Je monta à l’étage qui m’est réservé pour aller me laver les dents, une fois cela fini je prépara mes affaires pour les cours d’aujourd’hui, et descendis, mit mon blouson en cuir noir, des bottines à talons court, et me rendis au garage, où j’enfila mon bracelet porte-bonheur que je chérie le plus au monde. Je mis le contacte et partis direction la lycée de Forks.

Une fois arrivée à destination, je fus vite entourée de pleins de personnes avec qui j’ai l’habitude de rigoler et surtout de faire la folle partout où je passe. Quand la sonnerie retentit, je me pressa de me rendre à mon premier cours de la matinée. Comme toujours, je fus très attentif à ce que le prof racontaient même si cela est très intéressant ou, au contraire d’un ennuie mortelle.
J’aperçus devant moi la silhouette d’Isabella Swan, et je ne sais pour qu’elle raison, je voulu lui adresser la parole, de discuter avec elle et peut être sympathiser…
J’attendis la fin de l’heure pour l’aborder ; au début je me présenta poliment et lui proposa avec un sourire chaleureux de se joindre à moi pour le repas du midi. Bella hésita, et je la comprenais, elle parla un court instant avec Jessica, puis accepta mon offre, je la remercia et partit pour mon prochain cours.
Pendant tout le reste de la matinée j’eu du mal à me concentrer ; si il existait une personne capable de lire dans mon esprit il y ferait des choses et des sentiments tous plus différents les uns que les autres : un amour passionnel pour Jacob Black, une admiration pour Alice Cullen, une très grande tristesse par rapport à la mort de mon grand-père que j’adorais et que je respecte encore aujourd’hui, une haine immense pour mes parents qui ne m’ont jamais donné d’amour depuis ma plus tendre enfance, une très grande passion pour la danse et le dessin, une réticence envers mon rang social, une envie d’être apprécier et de connaître pleins de monde, et surtout une très large connaissance et croyance envers les anciennes légendes Quileute, dont je suis d’origine.

Quand la sonnerie de la fin des cours de la matinée se fit entendre, je me précipita à la cantine. Je pris très peu de choses sur mon plateau car je n’avais pas très faim maintenant. Puis je me dirigea vers la table dont j’avais parler à Bella. Cette dernière n’était pas encore là, c’est vrai que m’était un peu trop dépêché.
En regardant la table des Cullen qui se trouvait juste devant moi, mon regard croisa pendant une fraction de seconde celui d’Alice, je rougit légèrement. Et, sans ma rendre compte de ce que je faisais, je me sise à la dessiner. Quand je repris mes esprits, je pris la feuille, la plia et la mit dans l’une des poches de mon pantalon en me promettant de le terminer se soir.
Un instant plus tard, Isabella s’installa devant moi avec son plateau. Je la salua une nouvelle fois et la remercia d’être venue. Quand la jeune femme d’installa, je remarqua qu’elle avait jeté un rapide coup d’œil à la table voisine, je souris puis rigola en lui disant d’un ton enjouée :

-Ne t’inquiète pas Bella, ils ne mordent pas, enfin dans un certain sens.

Je sais que ma dernière phrase ne devait avoir aucun sens pour elle, mais pour moi si. Car je connais leur vrai nature, grâce à l’instruction et les légendes que mon grand-père me narrait.
Puis, Bella me dit que mon invitation l’avait intriguée. Avec un sourire chaleureux je lui répondis :

- Je sais que cela à dut te paraître bizarre venant d’une inconnue, mais j’avais envie de faire ta connaissance et de bien m’entendre avec toi, car malgré les apparences, nous ne somme pas si différentes l’une de l’autre.

Belle rougit, le faite qu'Evangeline ai remarqué qu'elle regardait les Cullen et plus précisement Edward était assez génant. Enfin son commentaire était assez "vague" pour qu'elle ne ce soit pas rendu compte des sentiments qu'elle avait pour cette famille.

-Oh oui, je n'en doute pas. Ils ne vont pas me manger... Enfin dans un sens

Elle répéta la fin de phrase de Evangeline parce que depuis l'accident elle avait fait des reves étrange, et aussi parce qu'elle c'était renseigné. Jacob lui avait raconter les légendes et elle c'était elle meme documentée. Plusieur hypothese lui était venue a l'esprit mais elle doutait que ce soit les bonnes, elle avait pensé a des superpouvoirs, comme superman ou bien spiderman mais elle c'était rendu compte que c'était stupide. De toute façon elle gardait tous ça pour elle et ce dit qu'elle reussirait a percer le secret d'Eward tot ou tard. Elle jeta un coup d'oeil rapide a sa table. Elle ne pouvais s'en empecher, il était si subblime... Bella, comme a son habitude, c'était perdu dans ses pensées, elle en aurait presque oublié Evangeline si celle-ci n'avait pas parlé.

-Comment ça pas tres differente ?

Bella était interessé par cette fille, elle était magnifique, n'avait pas l'air de ce laissé trahir par ses émotions, il est sur qu'a premiere vu elle et Bella était tout sauf semblable.

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En me réveillant j’étais de très bonne humeur comme toujours. Quand je sortis de ma couche, j’ouvris mes rideaux, refit mon lit et me dirigea vers ma salle de bains. Je resta un quart d’heure sous la douche, puis après avoir séché mon corps et mes cheveux, je commença à m’habiller. Je me vêtue d’un pantalon en pattes d’éléphant qui apparemment faisait fureur sur le continent Européen, plus précisément en France, un tee shirt immaculé de blanc extrêmement simple qui fait ressortir la couleur très mate de ma peau. Par dessus j’enfila un pull léger, rayé de noir et blanc. Je mit mes cheveux en un chignon parfait, seul une mèche retombait sur le côté droit. Je mit des boucles en argent à es oreilles, c’était un cadeau que mon grand père m’avait offert une semaine avant sa mort. Je me maquilla que très légèrement avec un trait assez fin au dessus et en dessous de mes yeux noisette. J’accrochas autour de mon cou, un collier dont le pendentif rond cachait une mini-horloge, de l’autre côté on avait la possibilité de mettre une photo ; j’en avais mit deux qui m’étaient très précieux et qui reflétait mon cœur : Jacob Black, mon loup-garou préféré et mon grand-père malheureusement décédé il y a déjà deux ans e quelques mois.

Après avoir fin de mette préparer, je descendis dans la cuisine pour préparer mon petit-déjeuner : du lait avec des céréales aux chocolats. Je me dirigea vers la salle à manger et, que fut ma surprise quand je vis ma mère assise sur la table en train de boire un thé, elle était en train de regarder la fenêtre se trouvant devant elle d’un air triste. En tant normal elle était rarement à la maison, mais si je me souviens bien de son emploie du temps, elle devait être à Los Angeles pour un de ses défilée les plus importants de l’année, alors pourquoi étai-elle là ?

Je m’installa à la table pour commencer à manger, mais avant cela elle me salua et me demanda comment je me portais. N’allez pas croire qu’elle s’intéresse et se préoccupe de moi, non ! Au contraire, elle me pose cette question pour que fasse de même pour qu’elle puisse parler d’elle et surtout de se plaindre de tout et n’importe quoi. C’est ce que je fis, de toute façon je n’avais pas vraiment le choix. Et à ce moment là, elle me fit un discours totalement inutile à mes yeux. Je comprit seulement que son défilé avait été retardé pour des raisons qui lui étaient obscures, pour faire comme si je m’intéressais à cela, je lui dit simplement qu’ils avaient reporter son défilé pour choisir des personnes de marque pour elle, car elle le valait bien. Toute contente elle se retourna pour me complimenter, et quand elle vit comment j’étais habillé elle me cria dessus, car elle trouvait que j’étais vêtue comme une « pauvre ». Cette dernière est toujours en vêtements de très grandes marques et se fait habillé par de grands couturiers et stylistes, c’est pour cela qu’elle ne supporte pas me voir avec des vêtements de personnes normaux. Pour clore le conversation, ma mère me dit qu’elle ne me comprendrait jamais. Je rangea mon bol dans le lave vaisselle, nettoya la partie de la table que j’avais utilisé, et avant de sortir de la salle à manger, je me retourna , regarda ma mère droit dans les yeux et lui dit que cela était réciproque, puis je la laissa seule en me rendant dans ma salle de bain pour me laver les dents.
Une fois cela fini, je rentra dans ma chambre pour prendre mes affaires. Puis j’alla dans la séjour, je mit mon blouson en cuir noir et des bottines à talons pas très haut, je me dirigea vers le garage, mit le contact et partis direction le lycée de Forks.

Quand je fus arrivée, pleins de personnes avec qui je m’entends bien et avec qui je m’amuse souvent m’entourèrent. Puis la sonnerie du début des cours se fit entendre.
Lors de la première heure, j’aperçus Isabella Swan devant moi, et j’eu l’idée de l’invité à un rendez-vous assez spécial pour lui parler de plusieurs choses. Je dut attendre la fin pour pouvoir l’aborder, l’attente fut longue… mais dès que la sonnerie se fit entendre une nouvelle fois, je sortis rapidement pour pouvoir lui parler, je l’interpella. Quand Bella se retourna vers moi, je la salua très poliment, je me présenta et lui proposa de venir dîner avec moi. Elle hésita, mais Jessica arriva, lui dit quelques mots, puis Bella accepta ma proposition. Je la remercia et me retira en vue de mon prochain cours. Pendant tout le reste de la matinée j’eus du mal à me concentrer sur les autres cours. Quand la dernière sonnerie de l’après-midi sonna, je me pressa vers la cantine. Je ne pris que très peu de choses car je ‘avais pas réellement faim. Je m’installa à une table qui n’était jamais occupée car elle est assez proche des Cullen, de cinq vampires. Bien entendu je n’est pas du tout peur de leurs vraie nature, car mon père, mon grand-père sont des loups-garous, de plus je m’entends très bien avec les garçons de la réserve se transformant à la pleine lune donc…

En regardant en direction de leur table, je croisa le regard de mon idole, Alice, pendant une fraction de secondes. Je rougis légèrement et me surprise à la dessiner, après avoir rangé la feuille que j’avais commencé. A ce moment là, Bella vint s’asseoir à mes côtés, je la remercia de nouveaux d’avoir accepté ma proposition/ Quand Isabella s’assise je remarqua qu’elle avait jetée un rapide coup d’œil aux Cullen, ce qui me fit rire, et je lui dit de ne pas s’inquiétez, ils n’allaient pas la manger, enfin dans un certain sens. Je ^pensais qu’elle n’allait pas comprendre ce que je voulais dire. Au contraire, elle me dit qu’ils n’allaient sûrement pas la manger, dans un certain sens. Ce qui me fit sourire, je remarqua une fois encore qu’elle jetait encore un coup d’œil à Edward. Je me doutais qu’il y avait quelque chose entre eux depuis l’accident.

- Je comprends que tu le trouves attirant, vus qu’il ta sauver la vie, tu dois lui être très reconnaissante.
Mais ne t’inquiète pas, je ne te le prendrais pas, il n’est pas vraiment mon style de garçons…

Après cela je lui dis que j’avais eu très envie de faire sa connaissance et même une envie de bien m’entendre avec elle, car malgré les apparences nous n’étions pas du tout différentes. Bien sûr, Bella me demanda pourquoi nous n’étions pas si différente. Je lui souris, c’était le moment que j’attendais, mais tout d’abord je devais faire attention à bien choisir les bons mots pour ne pas lui révéler ce qui m’était interdit.

- Bien entendu, je ne parle pas du plan physique car tu es dix fois plus belle que moi.
Non, je te parle de certaines choses dont tu es au courant ou que tu hésite depuis se fameux accident. Et bien j’ai les réponses à tes questions.
Nous nous intéressons toutes les deux aux Cullen mais pour une raison bien différente, mais bon…
Tu connais aussi Billy et Jacob Black, avec qui je m’entends très bien, et à qui tu as poser certaines questions…

Je dit tout cela très sérieusement.
Pour l’accident, je n’avait pas était présente, mais j’avais lus l’article de Jessica dans le journal, et j’avais tout de suite deviner que Edward était passé par là, grâce à la force surhumaine dont les vampires avaient eu dons.
Et pour Jacob, je lui avait un peu parlé de Bella, ce dernier très excité me parle beaucoup d’elle, il me dit ce qui c’était passé quand elle l’avait cuisiner, et me promit que nous ferions de très bonnes amies, malheureusement je n’arrivais pas à lui dire non.

Citation :: - Je comprends que tu le trouves attirant, vus qu’il ta sauver la vie, tu dois lui être très reconnaissante.
Mais ne t’inquiète pas, je ne te le prendrais pas, il n’est pas vraiment mon style de garçons…

Bella sentit sn coeur s'accelerer, comme pouvait-elle, elle aussi, lire aussi facilement en elle, bien sur ce n'était pas tout a fait vrai elle le trouvait attirant bien avant l'accident deja mais elle avait vu juste quand meme.

-Euh... et bien en faite il n'y a pas que sa, je dois parler avec lui mais il m'evite...

et Bella rajouta dans une murmure a peine auditible

-je le trouvait attirant bien avant...

Elle esperait que sa voisine de table n'avait cependant pas entendu sa reflexion.

Citation :: - Bien entendu, je ne parle pas du plan physique car tu es dix fois plus belle que moi.
Non, je te parle de certaines choses dont tu es au courant ou que tu hésite depuis se fameux accident. Et bien j’ai les réponses à tes questions.
Nous nous intéressons toutes les deux aux Cullen mais pour une raison bien différente, mais bon…
Tu connais aussi Billy et Jacob Black, avec qui je m’entends très bien, et à qui tu as poser certaines questions…

-Moi plus jolie que toi ? Tu ne te regardes pas souvant dans une glace ? Je ne vois pas trop de quoi tu parles, je m'intresse au Cullen parce qu'ils sont tres gentils du moins Alice l'est et Edward aussi... des fois... Jacob t'as raconté ??

Bella ne voulait pas parler de ce qu'elle pensait savoir ou croire, deja parce qu'elle l'avait promis a Edward a l'hopital, et puis parce qu'elle n'était pas sur et puis trahir son secret, elle n'y tennait pas vraiment mais Evangeline paraissait bien plus au courant qu'elle... Que devait faire Bella ?

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Edward suivait la conversation d'une oreille attentive. Bien sûr il n'avait pas besoin de regarder la table concerné, il entendait aussi très clairement les pensées d’Eva. Elle savait, elle savait qu'ils étaient ! Edward n'avait jamais fait attention à cette fille, mais maintenant qu'elle parlait à Bella, qu'elle est sûr le point de tout lui dire, il la trouvait dangereuse ! Il ne fallait pas que Bella sache, elle était en danger quand il était là, il ne fallait pas qu'elle sache, elle fuirait en le voyant, elle ne voudrait plus jamais de lui, elle...Si jamais ! Edward fut tiré de ses pensées par les insultes de Rose.

Tu es complètement fou d'elle et cela nous met tous en danger ! Tu dis que tu aimes ta famille mais il n'en est rien.

Edward fut piqué au cœur, comment elle pouvait lui envoyer cela en plein visage ! Il chercha du soutient envers Alice qui était seule à le comprendre plus que les autres. Mais elle ne bougea pas, elle ne dit rien. Il leva les yeux au ciel et essaya de faire mine que la conversation ne l'intéresser par. Emmett semblait irrité lui aussi, il était donc du côté de Rose. C'était normal, il était son marie et dans la loi il était dit qu'il fallait toujours soutenir son épouse. Mais là Oo quand même. Il baissa les yeux et soupira. Ce qui déclencha une autre vague de parole de Rosalie.

Tu fais l'abrutie et tu te crois sage. Tu ne sais rien sur cette fille et tu ne comprenant même pas ce qui t'arrive ! Alors ne fait pas l'enfant et parle-nous. Nous somme tous dans cette histoire, tu n'es pas seul Edward !

Rosalie avait levé la voix mais personne ne s'en était aperçu. Elle parlait trop vite et trop faiblement. Les élèves devraient même avoir du mal à voir ses lèvres bougeaient. Ed leva les yeux et fit un tour de table avec un visage de marbre. Il ne savait pas quoi dire, il ne savait vraiment pas ce qui se passer avec Bella. Il était juste attiré, complètement fou d'elle. Son odeur, son visage, ses yeux, tout en elle était pour Edward un défi. Il la voulait pour lui tout seul, il voulait la mordre et la tuer mais voulait aussi la toucher et la protéger. Il y avait deux personnes en lui, comme s'il y avait le Prince et le Monstre. Il en souffrait terriblement mais personne ne pouvait comprendre combien c'était dur ! Il n'était plus sur de rien, il doutait de tout, il n'arrivait plus à faire quelques choses bien. Il était comme déconnecté quand elle était là. Il écouta les quelques mots de Bella "Attirant bien avant Oo" Il sourit légèrement mais reçu un coup de coude de Jasper qui lui fit signe que Rosalie allait péter un plomb s'il ne répondait pas.

Ecoute, que veut tu que je te dis ! Je ne sais pas ce qui m'arrive, je ne comprends rien mais je sais juste qu'elle est importante pour moi. C'est comme toi et Emmett tu ne pourrais jamais vivre sans lui. Et bien là...

Edward aurait du mal à prononcer ses paroles. Il ne voulait pas admettre que Bella était pour lui la seule solution dans toute son existence. Il ne voulait pas qu'elle souffre et ne voulait surtout pas qu'elle manque sa vie à cause de lui. Il voulait qu'elle vive normale mais il était si attirait pas elle qu'il ne pouvait pas s'empêcher d'aller toujours la voir, lui parler :/ Il ne voulait pas qu'elle s'attache à lui mais c'était maintenant chose fait et il ne pouvait pas revenir en arrière. Il ferma les yeux et serra ses poings dans ses poches.

Elle est tout pour moi, tu le comprends !

Edward avait un peu crié et quelques regards s’étaient tournés vers lui. Il afficha un visage de marbre sans une expression, sans une once d'émotion. Il toisa Rosalie pour qu'ils changent de conversation. Jasper commença alors une discussion sur les cours d'anglais qu'il avait eut ce matin avec Alice. Edward eut donc tout le loisir. Il ne suivit pas la conversation de ses frères et écouta donc la suite des événements à la table d'à côté.

» Apres l'accident de Bella [PV Edward, Carlisle, Bella] FIN
» Boutiques Oo [Pv Jess, Edward et Bella]
» Alice appel Edward [PV+Edward]
» Petite promenade [privé - Jacob]
» Rencontre, conflit ... [ Privé : Sierra, Peyton, Leah ]