Le lycée n’est qu’une petite fourmilière. Ou plutôt une fourmilière de taille moyenne.

Invité

Je ne pense pas que vous pouvez comprendre ma vie, mon points de vue. Ma soif. Mon inscint. Je suis un animal mais pas une bête. Je suis une ancienne humaine, je ne suis pas un être vivant. je suis morte. Il y a de cela deux cents ans... Je suis une vampire. Pas très vielle. Juste assez pour pouvoir vivre parmit les être humains sans leur sauter dessus à la moindre odeur un peut trop ... succulente. Je suis une vampire civilisé. Je ne suis pas un nouveau né. Je suis Willow Barrow et ceci est un petit bout de mon histoire...

Le lycée n’est qu’une petite fourmilière. Ou plutôt une fourmilière de taille moyenne. Je dirais que moi et les autrres vampires, nous sommes les envahisseurs de cette petite fourmilère. Nous sommes la menaces tapis dans l’ombres. Un fil toujours sous tension... sous une trop forte tension. Nous menaçons de nous rompre à tous moment. Imaginé, avec toutes cette populations de vampire vivant de cette bourgade...imaginé que le fil se rompt. Imaginé... Ou plutôt, rendez-vous compte du carnage que ça serait... Un grand bain de sang. Un ENORME bain de sang... Tous les vampire cédant à la tentation du sang humain...

Combiens de ces créatures frêle resterait en vie une fois le carnage terminé ? Combiens de vampire aussi ? Je parle autant du carnage, que de l’après carnage... Les Volturi... De vrais ménagères ceux là, si ce carnage venait à se réaliser, seul les vampire ayant un sens de la fuite aguisée pourrons s’en sortir. Et encore... Dimitris serait là. Le fameux traqueur Dimitris. Je déglutit. Si le carnage avait lieu, je ne mourrais pas dedant.J’ avais toujours été beaucoup trop rapide pour mes adversaires. Svelte, rapide et avec un instinct de survit beaucoup trop puissant... Après le carnage je fuirais surement, mais mon odeur me suivrait, et Dimitris aussi... Il y aurait finalement un affrontement. Sortirais-je vainqueur contre plusieur s vampire. Mourrais-je dans d’atroce souffrances ?

Mais... avec des “si” on mettrait Parisz en bouteille n’est-ce pas ? Et les éléphant serat rose.... Ce qui n’est pas le cas. le carnage n’aura pas lieu. Forks est remplis de vampire certes mais... nous sommes tous des vampires matures. Nous savons un minimum nous métriser. Et tant qu’il n’y a pas de nouveau-né dans les parages... tous ira.... bien ?
Les couloirs était plein. Tous le monde bousculer tous le monde. Je reconnaissiat les coup d’épaule bourrin des humain et les délicate “caresse” des vampires... Subtile.

C’est d’ailleur les couloirs et leurs bousculade qui me fiorent me rendre compte du nombre que l’on était à fréquenter Forks. Et c’est d’ailleur comme ça que je me suis mis à penser à se carnage.... Nous étions trop pour la population d’humains... Nous étions trop dans ce lycée... Les éffluve d’odeur humaine se mélanger au notre...Bizarrement les notre étaient beaucoup trop présente. L’avantage à en tirer ? Plus l’odeur de vampire était présente, olus elle couvrait celle succulente des humain et moins il y avait de chance que l’un de nous craque...

J’ouvrit mon casier et y déposa queques livre. C’était un casier bien triste... la pluparts des élèves l’avait décoré avec des photos ou des mini-poster. Des déssins parfois aussi... A vrais dire là aussi on reconnaissait les casier des vampire : à moitier vide et non décorer. Je pris mon casque. Ferma le casier puis sourit à la personne qui avait attendu derrière la porte ouverte de celui-ci. Je lui sourit. Je l’avait sentit mais... Enfin. J’attendit. Consciente qu’il voulait me parler...

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